ANNEXE

 LE CAS D'ANNA. O 

Le cas d'Anna consideré par Freud et ses disciples comme un cas d'hystérie, est cependant un cas de sublimation. L'histoire de la fille est un symbole de sublimation.

 HISTOIRE DE LA MALADIE

 Anna.O patiente de Breuer, ensuite celle de Freud est la fille d'un autrichien ayant residé à Londres.

 Pendant cette période en Angleterre, ce monsieur est tombé malade. 

La maladie du père de Anna correspondant à une période de maturité chez elle, qui a reçu une bonne éducation familiale, et sociale de son père, de l'entourage.

 Pendant cette période de maladie de son père, Anna étudiante à l'Université de Londres, ne connaissant que ses cahiers, et livres, a pourtant moralement, et physiquement souffert avec son père malade. 

Car matin et soir, c'est elle qui lavait, habillait, chaussait son père. 

Sa mère travaillant dans une autre ville, pour supporter la famille. 

La maman de Anna voyant l'évolution de la maladie, décide de rentrer en Autriche.

  Quelques mois après leur arrivée, la famille prit la robe de deuil.

 ANALYSE 

Anna.O étudiante devant les circonstances familiales est devenue infirmière de son père à Londres. 

En Autriche, après le décès, pendant la période de deuil familial, Anna signale que son bras est paralysé, qu'elle ne voit plus rien; et est devenue aveugle.

 Et sa mere décide consulter les médecins.

 Au fond si elle a été paralysée, aveuglée,  ce n'était que par suggestion. 

Anna la fille mature s'étant sublimée dans les soins de son père malade, voilà qu'elle se reproche à elle même: pourquoi a t-elle touché, vu son papa malade nu. 

Elle culpabilise ses mains, ses yeux pour se punir elle même.

 C'est après une cure de psychanalyse de Breuer, qu'Anna la fille devenue paralytique, aveugle a été complètement guerie, et a joué un rôle social, et familiale dans la capitale autrichienne.

 LE COMPLEXE D'ŒDIPE 

Le Cas du petit HANS: 

le petit Hans est un patient de Freud âgé de 8-9 ans, son père possédant une écurie, et c'est sa famille qui soigne ces chevaux. 

Le petit Hans à l'âge de 3 ans a bien garder le souvenir  des soins qu'offrait sa famille à ces chevaux.

 Car pendant ces soins, voyant certains éléments de la famille passer sous les poitrines, et les jambes des chevaux, nettoyant le plancher de l'écurie. 

 Ces chevaux paternels étant de couleur roux, blanc, ou noir; un jour, dans un autre village le petit Hans a vu un cheval tacheté de blanc et de noir; et subitement il a eu peur du cheval. 

À la maison, il avait peur de rester seul depuis la rencontre du cheval tacheté. 

Quelques années plus tard le petit Hans à l'âge de 25-27 ans est venu rire devant Freud dans son bureau en se moquant à soi même. 

Cette peur du petit est un cas clinique du complexe d'Œdipe, et Freud l'analyse: que le petit a été victime de déplacement névrotique, parce qu'il a déplacé le pouvoir paternel sur le cheval. 

Mais en réalité, l'on ne peut parler de complexe; car les totèmes et tabous entre les clans de maçons, forgerons, chasseurs, griots dans les sociétés ancestrales; 

les dix commandements de l'exode, les constitutions des Républiques ne sont  que des recherches d'une analyse par le respect des uns et des autres, et dans les familles à système exogamique, ou endogamique.